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SPIRALUCE

16 novembre 2014

Vitrines de Noël à Paris

Voici quelques videos  des vitrines de Noël  des grands magasins  du boulevard Hausssman ....

 

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Vitrine de Noël à Paris (le Printemps)

vitrine de Noel (suite) PARIS

 

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les Monstres- Galeries Lafayette -

 

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les lapins crétins (GLafayette)

 

 

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petits monstres toiletant un grand monstre

 

 

 

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le sapin inversé des Galeries Lafayette

 

 

 

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30 octobre 2014

fondation Vuitton - architecte Franck Gehry

Un petit passage ce week-end autour de la dernière création de GEHRY : la fondation Vuitton dans le bois de Boulogne, à côté de Paris.

 

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17 avril 2014

Un amour de patate !

La nature est romantique ...

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3 avril 2014

Photo du jour ... souvenir d'une blanche lumière hivernale

Avec ce temps blanc où les minutes semblent en apnée, j'ai retrouvé cette photo hivernale , dont la blanche lumière faiaait écho à celle d'aujourd'hui, la froideur en moins ;-)

 

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3 octobre 2011

nuit blanche à Paris

un petit aperçu de la nuit blanche à Paris, à Montmartre ... je vous laisse découvrir quelques  photos et la vidéo sur l'animation lumineuse du funiculaire par la RATP , en rouge, pour simuler les battements du coeur : accélération à la montée, ralentissement à la descente ...

 

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et la vidéo...

 


Nuit blanche à Paris- Montmartre

 

 

 

 

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4 mai 2011

QUITO en EQUATEUR : altitude et centre du monde !

 

Un petit aperçu de l’Equateur découvert furtivement à l’occasion d’une conférence professionnelle….

Pays d’Amérique latine, de près de 15 millions d’habitants, l’Equateur est entouré par la Colombie au Nord et le Pérou au Sud. Le pays a trois types de reliefs répartis d’ouest en est: l’Amazonie, la cordillère des Andes (Quito) et le littoral (dont les fameuses îles Galápagos).

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QUITO est située dans la cordillère des Andes, au pied du volcan Pichincha (dernière éruption 1999) mais elle est située à une altitude de 2850m …ce qui en fait la 2ème capitale la plus élevée du monde !(après la Paz en Bolivie). Cette altitude peut provoquer le « mal des montagnes » lorsqu’on y arrive en avion, sans paliers d’adaptation. Effectivement, le premier soir, nous avons ressenti une sorte d’ivresse avec la sensation d’être sur un bateau, et, chose plus étrange, les vibrations du métro sous nos pieds (là, ça commençait à nous inquiéter…) mais le maté de coca local est un excellent remède !

Côté température, le pays "bas" étant de climat tropical, à 2850 m l'air était sec, de l'ordre de 18 à 25 ° en journée, mais frais ou froid le matin et à la nuit, où il nous fallait un manteau ... les Equatoriens disent qu'ils peuvent connaître nos 4 saisons en 24h !

 

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La population est essentiellement amérindienne, d’ethnies provenant d’Asie, selon le français Paul RIVET (qui a créé le musée de l’homme au palais de Chaillot à Paris). Les Incas sont arrivés au 15è siècle avant d’être supplantés par les conquistadors espagnols, en la personne de Francesco Pizarro. L’indépendance a été proclamée au 19è siècle. 

 

 

 

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Autre fait marquant, l’équipée au 18è siècle de La Condamine qui a défini la méridienne matérialisant l’Equateur à une trentaine de kilomètres de Quito (hélas, pas le temps d’y aller !) confirmant par-là, comme l'avait supposé Newton, que la terre est renflée à l’équateur et aplatie aux pôles

 

 

La langue officielle est l’espagnol, mais une dizaine de langues amérindiennes y sont parlées, comme le quechua.

 

 

Quito s’étend sur 60 km de long et 5 km de large. Le volcan Cotopaxi, qui culmine à près de 6 000m, nous permet de contempler dimanche matin sa cime enneigée. Ce sera le seul jour, car la saison des pluies bat son plein.

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 Le centre historique de la capitale porte essentiellement les traces architecturales coloniales (églises baroques, une superbe cathédrale gothique, …) car les Indiens avaient brûlé la ville pour éviter de la livrer aux Espagnols. La ville est à la fois moderne (belles demeures et tours vitrées, qui n’ont rien à envier à celles de la Défense) et populaire, joyeuse et surprenante.

 

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Gentillesse et spontanéité de la population rencontrée. Une Équatorienne auxquels nous a même convié fort gentiment à un spectacle de danses d’Amérique du Sud. La marchande de souvenirs nous a offert une petite broche. La légende existe : j’ai vu les femmes aux tresses couleur ébène!

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Dans les jolies rues aux couleurs pastel ou colorées, plein de petits boulots fourmillent : cireur de chaussures, vendeur de journaux, de tickets de loterie, ou de bavoirs… ou encore, plus surprenants, des vendeurs de gâteaux à la crème et aux fraises en plein soleil sous l’ombre bien mince d’un parapluie !!!...

 

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Une foule très conviviale, familiale et pleine de vie.

Des maisons construites à flan de volcan, de manière presque insouciante … dans tout cela sérénité et joie de vivre m’ont marquée.

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Malgré la brièveté de mon passage, j’ai eu la chance de bénéficier d’une visite commentée de la magnifique « Chapelle de l’Homme » (« capella del hombre »)  du peintre  Osvaldo GUAYASAMIN. (En photo sur les volcans + autoportrait) Créée pour témoigner essentiellement de la souffrance subies par les Indiens sous l’empire de l’homme blanc et éviter surtout tout renouvellement par les futures générations humaines. Superbes tableaux extrêmement expressifs, qui ne sont pas sans rappeler le style de Picasso. La période de la colère saisit ainsi avec force l’oppression, le racisme, la pauvreté, et les inégalités qui frappent l’Amérique du Sud. Mais son œuvre dévoile également un jour apaisé quand il aborde le sujet des femmes : l’amour de la mère, de la femme, sources de réconfort dans les épreuves et de courage dans la résistance à l’humiliation. Des œuvres puissantes qui ne laissent pas indifférent. Ne loupez pas ce haut lieu de mémoire qui rend hommage à l’être humain, à ses peuples, à son identité.

 

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Enfin, on ne peut pas quitter ce pays sans évoquer son artisanat. Tout d’abord les chapeaux dits « panama » sont confectionnés en Equateur par d’habiles et patientes petites mains. Ils ont été popularisés sous le nom de panama lors de la construction du fameux canal par les ouvriers qui les ont utilisés. La qualité des jeunes pousses de palmiers d’Equateur et du tressage (qui peut atteindre 6 mois pour le très haut de gamme) font la qualité du chapeau (souple et fin), et de son prix (jusqu’à plus de 1000€ en Europe)… j’ai eu la chance à l’aéroport de croiser un jeune entrepreneur français spécialiste du panama. Outre le fait qu’il m’a rassurée sur la qualité de mes chapeaux (pas si bas de gamme que je ne le pensais !) il m’a fait admirer un magnifique panama d’une valeur d’achat de 200€ auprès d’un producteur (sachant que le salaire moyen mensuel en ville est d’environ 300$…je vous laisse imaginer les heures de travail !).

Pour finir, l’alpaca, laine d’un animal ressemblant un peu au lama, est utilisée pour de superbes ouvrages. Douce et très chaude, avec des couleurs chatoyantes, en écharpes ou en pull  je n’ai pu résister pour le plus grand bonheur de …ma moitié !


Pour plus de photos, voir l’album "QUITO" + "GUAYASAMIN"

 


Ci-après 5 mini-vidéos des danses ...


 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

12 octobre 2010

la fête des vendanges de Montmartre

 

 

Le temps estival de samedi nous a conduit en fin de matinée sur la Butte.

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Tout d’abord une petite visite de la vigne dite le Clos-Montmartre s’impose à nous même si les vendanges 2010 ont eu lieu voila déjà 15 jours, maturité des grappes oblige. 

 

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La culture de la vigne a commencé au 16esiècle par les laboureurs-vignerons de la Butte. Au siècle suivant, le vin de Montmartre est réserve a la consommation locale, et manifestement moque pour ses qualités principalement diurétiques !

 

  « C'est du vin de Montmartre
Qui en boit pinte en pisse quarte. »

 

(une pinte équivaut a 93 centilitres et une quarte a 67 litres).

La ville de paris a crée ce Clos en 1933 en plantant 2000 pieds de vigne dans un endroit, ou s’élevait, au 17eme siècle, une guinguette du nom de la Belle Gabrielle, avant de devenir un terrain vague, qui a été transforme en 1929 en square de la liberté par le celebre dessinateur Poulbot et quelques amis artistes, pour sauver ce terrain de l’expansion immobilière.

 

Chemin faisant, nous avons bu de l’eau de Paris, offerte au pied du château d’eau rue du Montcenis. Un tuyau pour les amateurs du Château la pompe : Paris regorge de fontaines d’eau potable ! on peut se procurer des petits plans fort utiles au pavillon de l’eau. A signaler : une fontaine d’eau pétillante dans les jardins de Reuilly dans le 12eme !

Plus loin, un stand tout aussi intéressant sur le liège. Qui nous étonne ; non seulement les bouchons en  liège permettent au vin de respirer et de le conserver dans des conditions optimales, mais en plus, les chênes lièges absorbent entre 2 a 4 fois plus de CO2 quand ils sont écorcés (le liège est l’écorce externe de l’arbre , l’arbre exploité n’est pas abattu), et ses propriétés isolantes lui permettent de très bien lutter contre le feu ! On comprend mieux pourquoi les Grecs le considéraient comme un symbole de liberté et d’honneur ! Les demoiselles du stand quant a elles, lui rendent un bel hommage avec jupe, petit gilet et toque en liège . . . leur ensemble est très seyant !

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L’ambiance est délicieusement agréable sur la Butte, un brin retro ... on passe devant la maison rose, l’ancienne maison de Maurice UTRILLO .. puis nous remontons a contre-jour une jolie rue pavée ou les lignes fuyantes ombragées sont très poétiques.

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Soleil oblige, nous allons nous affaler en terrasse sur la place Jean Marais pour déguster un gigot-puree maison avec un petit cote du Rhône  pour éviter le fameux quarte ..., mais avec, en prime, l’ambiance joyeuse d’Arlette DENIS, en direct avec son orgue de barbarie, sa voix si proche de celle de Piaf et sa gouaille si typique du Paris de Poulbot..  donc les instants de bonheur qui embellissent la vie !  Pour les amateurs, Arlette a reçu la Palme d'Or Nationale des Chanteurs de Rue : oui, elle mérite vraiment le détour !

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Puis en milieu d’après-midi, les carnavaliers commencent à déambuler . . .

 

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Nous redescendrons par la Butte par le marche St Pierre, véritable caverne d’Ali Baba des tissus . . . le cœur en fête de cette magnifique journée !!! 

 

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12 septembre 2010

Vermenton et la maison Colimaçon

Le 7 août vers 17h, c’est le départ pour les vacances. En route vers la première étape : l’Yonne.

 

Geneviève nous accompagne, ainsi que ses archives, fruits de son passionnant métier d’enseignante chercheuse, vers sa maison de Vermenton …

 

Etrange nom : nous allons vers Vermenton, …vers Menton, verts mentons ; verts, mentons… !?…. Rien que le nom titille déjà l’imagination … le village de 1200 têtes se révèle aussi enchanteur que le nom … authentiquement icaunais, serein, et charmeur. Convivial, ouvert et rêveur. De la place centrale où nous sommes tombés sur le repas du village, et, où nous trinquâmes avec quelques marins anglais ,… en passant par ses ruelles, avant de lever le nez vers des toits joliment décalés, .....par le parc aux îles avec son boulodrome ombragé, ....par son port de plaisance aux nombreuses péniches venant de tous horizons, ...à sa plage gazonnée au bord de la Cure, Vermenton apaise, loin des rythmes et artifices urbains, entouré, pour la convivialité, des délices de Bacchus : Chablis est à côté !

 

Napoléon y avait déjeuné, nous y avons séjourné. Inutile de faire les choses à moitié.

 

 

 

 

 

 

 

 

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             A    A                                                                                                                                                    A l’écoute des commentaires préliminaires, la maison de Geneviève était un mystère. Elle se révéla complètement romanesque. Les vacances avaient vraiment commencé !

 

Cette maison, d’un abord extérieur discret, voire un tantinet secret, révèle élévation et profondeur d’âme. Naturelle, chaleureuse, au calme enjoué, telle son hôtesse. Comme les meilleurs gâteaux « étagés » (selon le vocable de nos cousins québécois), nous avons dégusté ce havre de paix par tranches. Le rez-de-chaussée donne le tempo de sa circularité : une maison où l’on peut ne pas se croiser … il suffit de passer par la cour intérieure ou par le petit boudoir « marocain », ou bien se réfugier dans l’annexe, la salle de bains que je trouve très orientale. A moins d’être descendu prendre le frais dans l’une des magnifiques caves voûtées, qui s’offrent, discrètement au bas d’escaliers, qui derrière une porte, qui à la manière d’une grotte... Fruits, légumes, Chablis, Sancerre et compagnies y sommeillent en toute quiétude. On peut s’y être endormi dans le grand haut lit du premier étage avant d’admirer le soleil levant, si l’on n’est pas plongé dans le bric à brac de la remise ou dans les souvenirs de l’un des deux greniers… S’éveiller au petit déjeuner dans le voluptueux séjour carré autour des croissants croustillants que Geneviève a ramenés et que l’on trempe avec gourmandise dans un thé fumant. Les murs recouverts de papier peint aux roses surannées actualisé d’affiches, cartes et tableaux, vous y ancrent dans un passé rassurant et vous emportent avec entrain au tour du monde …Du coup, on y revient toujours tel un port d’attache indéfectible, rasséréné de vivre.

 

 

 

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Le temps n’a pas d’emprise dans ce lieu attachant, à mille lieux des temples matérialistes actuels.  La maison Colimaçon est délicieusement et poétiquement bohême. Son caractère libre, profondément indépendant, est une bouffée d’oxygène. Son cœur qui s’ouvre à qui se meut à son tempo, est une réjouissance toute humaine. Etre ou paraître, notre hôtesse a  choisi. Pour notre plus grand bonheur !…

 

 

 

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24 mai 2010

Paris Nature Capitale

Quand les rats des champs déploient leurs tapis de verdure sur les Champs Elysées, les rats des villes accourent par milliers de toutes les galeries du métropolitain ... 

Toujours fasciné par cette nature qui est toujours trop loin de son nid, le rat des villes aime rendre  hommage au rat des champs en l'invitant sur les siens, la plus belle avenue du monde ... cette communion iconoclaste, en passe de devenir un rituel « so frenchie »,  est une belle communion qui réjouit petits et grands dans un grand concert d'exclamations, de tout genres … 

Le parfum d’enfance qui flotte sur les Champs pendant ces 2 jours de week-end de la pentecôte fait souffler un bien agréable vent de liberté campagnarde comme nous en avons tous connus ou rêvés !

 

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Un grand bravo à cette incroyable organisation de " Capitale Nature" (tout a été mis en place dans la nuit de samedi à dimanche : chapeau bas !) à laquelle l’astre solaire, lui-même, n’a pas manqué de rendre un vibrant hommage.

 

 

POUR PLUS DE PHOTOS ... VOIR L'ALBUM "CAPITALE NATURE"

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8 mai 2010

l'Uruguay, la Suisse de l'Amérique latine

En déplacement en Uruguay en avril, voici quelques impressions fugitives de ce pays lointain ...

 

Montevideo, la capitale,  fondée en 1726 par les Espagnols pour éviter les incursions des Portugais, sous influence anglaise au 19è siècle, est bordée par le Rio de la Plata. Ce fleuve, qui se jette dans la mer, plus au large, permet de comprendre la couleur marron de l'eau  ...

 

A l'arrivée, l'aéroport en forme de soucoupe posée dans un champ surprend !

Ensuite 3 types de quartiers se succèdent : tout d'abord le très résidentiel so british, puis un quartier de tours confortables à l'américaine, et enfin la vieille ville plus populaire ...

 

Le double pont en forme de vagues près de Punta del Este sera une joyeuse découverte, ainsi que la Casa del Pueblo, inspirée de Gaudi, et les peintures de Carlos Paez Vilaro.

 

L'Uruguay, sérieusement siège du Mercosur, et plus poétiquement, lieu d'origine du tango, histoire méconnue, toujours attribuée à l'Argentine ( Buenos Aires est sur l'autre rive à 2h de ferry, ceci explique peut-être cela ...)

 

Nous avons eu la chance de tomber par hasard sur un concert instrumental de tango donné par LA MUFA à la superbe librairie brasserie  "las puro verso" dans la vieille ville ... ce groupe de 5 jeunes revisite sans complexe notamment Astor Piazzolla et Debussy (!) pour notre plus grand plaisir !

 

Autre délice : de ma fenêtre de chambre, je ne me lassais pas de contempler les lumières fabuleuses sur la plus grande rade d'Amérique latine et son joyeux va et vient ... difficile de s'en arracher pour aller s'enterrer en salle de conférence ! ...

 

P1010399_copieLe palais SALVO sur la place de l'indépendance de la vieille ville, fut construit dès 1925, par Mario Palanti. D'une hauteur de 95m , avec 27 étages, il fut pas mal décrié, même si d'après les Uruguayiens il fut pendant de nombreuses années l'une des tours les plus hautes d'Amérique latine ...

Pour continuer la visite, voir l'album photo ..P1010390_copie.

 

 

 

 

 

 

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